Voici à quoi ressemble les trousses de ''premier soins'' de Jacob qui seront placé dans sa classe, secrétariat, service de garde et une d'extra au cas ''zoo''! lol J'en fais trop? Pas assé? Je ne sais plus! Quand je pense au début de l'année scolaire j'ai la tête comme une girouette par journée de grand vent! Ça tourne et ça tourne vite! Pour le moment je vais y aller avec mon instinct (de maman qui en fait souvent trop pour rien!) et je m'ajusterai en cours de route. Après tout c'est une première autant pour moi que pour Lapin!  |
| Pas capable de la mettre dans le bon sens! lol |
J'ai aussi conçu un journal de bord qui nous permettra de communiquer, les intervenants et moi, assé facilement (en tout cas, c'est ce que je pense. Encore là, seul le temps me le dira!!). J'ai mis beaucoup d'efforts dans cette première rentrée scolaire et j'espère qu'elles porterons fruit!!
Au delà de toute cette planification, de ce cassage de tête, des formations sur le diabète et tout ce qui l'entour, il y Jacob, il y a papa et il y a moi. Jacob, qui comme tout les enfants de son âge, à tellement hâte que ses petits pas le mènent vers le gros autobus jaune! Armé de sa boîte à lunch et de son sac à dos, je le vois fort et fier, prêt et heureux! Papa et moi, qui comme tous les parents, regarderons notre petit trésor, notre fragile enfant, la prunelle de nos yeux, quitter la maison, seul, pour faire sa vie d'étudiant! Une larme (ou 2 ou 3...vite la boite de kleenex!!!) coulera c'est certain, mais une chose est sure, jamais je ne laisserai le diabète me voler ces moments si précieux. Peu importe tous ce que je dois prévoir, organiser, apporter, calculer ou peser, je le fais dans un seul et unique but. Apprécier, profiter, aimer, voir grandir, cajoler, soigner, consoler le plus merveilleux des petits héros à mes yeux...mon enfant.
Il est très difficile pour moi de laisser aller cet enfant, celui sur qui je veille jour et nuit. De confier sa santé à des étrangers qui n'ont pas cet amour, ce dévouement envers lui. Je sais, il est temps pour moi d'exercer le fameux lâché prise, celui dont je parle souvent mais n'applique jamais!
Va, je t'aime mon fils.
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